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 Dimma Dökkhönd [TERMINÉ]

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4 participants
AuteurMessage
Dimma Dökkhönd

Dimma Dökkhönd

Messages : 385
Date d'inscription : 20/11/2021
Localisation : Siège de Vander Corp
Emploi/loisirs : Fondateur de Vander Corp

Feuille de personnage
Pouvoirs/Capacité: Maîtrise du métal • Maîtrise de l’électricité + génération de champ électrique • Force et endurance accrues
Inventaire:

Dimma Dökkhönd [TERMINÉ] Empty
MessageSujet: Dimma Dökkhönd [TERMINÉ]   Dimma Dökkhönd [TERMINÉ] EmptySam 20 Nov - 11:21




Je viens d'arriver à   Azuola




Dimma Dökkhönd



Mon nom est Dimma Dökkhönd, je suis un humain transformé par la magie noire et je suis âgé de trois siècles. Je suis originaire d’Islande. Je suis dans le groupe Étoile Rouge et mon orientation sexuelle est sans importance et je ne suis pas à la recherche d’une relation intime.


Me décrire

Caractère:
☾Intelligent ☾Déterminé ☾Manipulateur  ☾Patient ☾Pragmatique ☾Sarcastique ☾Sarcastique (il l’est vraiment BEAUCOUP)  ☾Méfiant ☾Secret  ☾Organisé ☾Improvisateur  ☾Dévoué à la cause  ☾Adaptable ☾Perspicace  ☾Autoritaire  ☾Père de famille  ☾Ornithophobe dans une certaine mesure
Ce qu'il aime:
✔ Monsieur Pantoufle
✔ Le rooibos
✔ Sa famille
✔ Les arts
✔ Confronter son intelligence à une autre du même niveau
✔ L’Étoile Rouge
Ce qu'il déteste:
✘ Reika
✘ La magie
✘ L’autorité
✘ Les corbeaux
✘ La viande
✘ Lui-même
Mensuration:
⁂mesure 1m70
⁂pèse que 65kg
Détails physique à savoir :
Sous son masque, Dimma est un homme aux cheveux noirs et aux yeux bleus, entre la fin de la quarantaine et le début de la cinquantaine. Il porte toujours son uniforme
Ses pouvoirs avec point faible:
- Manipulation de l’électricité : Dimma est capable de manipuler dans une certaine mesure l’électricité qui l’entoure. Il peut sentir et débusquer sa présence mais pour l’utiliser il doit être en contact physique quasi-direct avec la source d’énergie. Par exemple il ne peut exploiter la source d’une prise électrique que s’il se situe à proximité. Une telle contrainte lui a appris à se montrer… créatif. Il se sert principalement des influx nerveux électriques des êtres vivants pour les paralyser, les insensibiliser à la douleur, etc. Il doit bien entendu se trouver en contact peau à peau (ou quasi peau à peau si le vêtement n’est pas trop épais) pour faire cela.
- Manipulation des métaux : Dimma peut se servir des métaux qui l’entourent, principalement pour pallier son manque d’attaque à distance. Il peut faire léviter et actionner des objets légers qu’un homme normal pourrait projeter (dans la mesure où il peut au moins les voir, car il n’a aucune possibilité de détecter leur présence), mais pas ce qui est trop lourd. Dans le cas d’un objet lourd ou solidement attaché, à la place, c’est lui qui se déplace dans sa direction. Il a procédé par tâtonnement pour comprendre cela… Extrêmement pragmatique, Dimma ne cherche pas à attirer à lui des objets trop éloignés (car le temps qu’ils arrivent, selon la distance, il pourrait aussi bien se les prendre dans la figure ou, dans le cas inverse, les percuter de plein fouet (par tâtonnement, par tâtonnement !)) et se contente de garder sur lui une flasque de mercure. Il peut influencer le fer dans le sang d’un interlocuteur, mais c’est gaspiller un tel effort pour un résultat souvent médiocre qu’il ne le fait qu’en dernier recours pour une attaque surprise (l’autre est toujours étonné de se prendre une claque de sa propre main au moment inopportun).
- Force et endurance supérieures : Dimma ayant été modifié par la magie pour faire de lui un meilleur guerrier, il possède une force et une endurance légèrement supérieures à la moyenne. Pas de quoi casser une brique à mains nues, ni survivre à la chute d’un tronc d’arbre sur la tête (PAR TÂTONNEMENT !) mais suffisantes pour distribuer moins de coups, en encaisser plus, et en guérir un peu plus rapidement.
- Connaissance des runes : d’origine islandaise, Dimma possède un certain savoir des symboles magiques et des runes de sa culture. Cependant, elles sont tellement compliquées à réaliser et tellement contextuelles qu’il ne s’en sert que bien à l’avance en prévision d’un plan à mettre en œuvre. Par exemple il peut inscrire une rune de protection à l’intérieur de son masque pour se protéger des intrusions mentales ou des illusions, mais comme ses oreilles ne sont pas couvertes, il sera toujours sensible aux hallucinations auditives. De même, cela fonctionne contre lui. Des gants ou des mitaines arborant un symbole de protection magique l’empêcheront purement et simplement d’utiliser ses pouvoirs.
Histoire

Il l’a refusée.

Il a refusé la main que je lui tendais pour le secourir, que je lui ai tendue en dépit de tout ce qu’il a fait, des vies qu’il a détruites, des proches qu’il a tués. Je voulais le sauver, j’ai essayé, j’ignore pourquoi. Ce devait être un réflexe, peut-être. C’est très bizarre à dire, car à ce moment de ma vie, il était mon dernier parent, en quelque sorte. Mon père, si l’on peut dire, même si nous avons passé notre existence à nous affronter. Tout ce qu’il a fait, il l’a fait dans le but d’anéantir, d’oblitérer, de complètement et irrémédiablement effacer, et moi je me suis efforcé de toujours l’en empêcher. Systématiquement. C’est à un point tel que j’ai l’impression que, maintenant qu’il a disparu… je ne sais rien faire. Mes pensées et mes actions étaient entièrement focalisées sur lui, presque dictées par lui, et désormais… c’est à peine si je me sens libre de respirer. Je dois même avouer que, bien qu’il ait disparu, c’est comme s’il était toujours là. Son spectre, son fantôme, que sais-je, son influence est toujours avec moi.

Depuis sa disparition, englouti par les flots, il m’obsède encore plus qu’auparavant. J’ai le besoin, j’ai le devoir, de savoir qui il est, et pourquoi il l’est.

J’ai mené mon enquête, la seule autre chose que je sache faire semble-t-il, et j’ai découvert les notes d’un certain psychanalyste, ou psychiatre, je ne sais pas, nommé Rylan Reeves. Reeves a été l’un de ses partenaires, je le savais, mais j’ignorais si leur relation allait au-delà. Au départ je n’ai pas compris que ces dizaines de carnet noircis d’encre le concernaient, mais à présent je commence à me faire une petite idée…

J’ai compilé les notes les plus pertinentes, à mon sens, du bon docteur, peut-être que je trouverai la clé de ce mystère en les relisant.

Cahiers du Docteur Rylan Reeves :
J’ai entrepris de rédiger ce journal à la suite de ma rencontre avec un homme lors du gala de charité tenu pour l’orphelinat. Nous n’avons pas discuté très longtemps, mais cette conversation m’a vraiment… je ne sais pas, intrigué ? Intéressé ? Tenu en haleine ? C’était un homme plutôt avenant, un mètre soixante-dix, taillé normalement. Cheveux noirs courts, yeux bleus perçants, il était assez ordinaire néanmoins il se dégageait de lui quelque chose de… je ne sais pas, fascinant ? La discussion ne m’était même pas destinée, au départ, c’est sa voix qui m’a attiré. Une voix grave, chaude, d’un timbre un peu métallique. Chacun de ses mots était juste, bien pesé, faisait mouche.

Je me suis retrouvé captivé par lui, guidé à lui avec d’autres invités comme d’innombrables bateaux qui suivraient la lueur d’un phare.

C’était… un sentiment vraiment étrange. J’ai appris qu’il se nommait Johannes Ansart, qu’il était un entrepreneur belge (si je me fie à son accent franchement européen, si tant est qu’une telle chose existe) qui œuvre pour un trust baptisé Rauð Stjarna. Ansart m’a tout de suite fasciné. Les propos qu’il tenait révélaient une grande sagesse et une connaissance approfondie du monde. On dirait qu’il est allé partout et qu’il a fait la rencontre de personnalités aussi variées qu’insolites. Et c’est un homme d’une certaine générosité aussi. À la fin du gala, c’était celui qui avait le plus contribué à la cagnotte pour restaurer l’aile ouest de l’orphelinat.
(Note de R : après une seconde lecture, j’ai compris qu’Ansart était bel et bien l’homme qui m’intéressait, et je reconnais là déjà ses maniérismes et son… impressionnante loquacité…)

Je pensais ne jamais revoir cet homme, mais à ma grande surprise, il est venu me rendre visite au cabinet aujourd’hui. C’est cet évènement qui m’a encouragé à consigner nos entretiens dans ce carnet. Je ne sais pas jusqu’où mes notes iront, peut-être qu’elles ne dureront que dix pages, peut-être deux. Ansart est venu prendre rendez-vous. C’est Becky, mon épouse et secrétaire, qui l’a accueilli. Je n’avais pas de place dans mon agenda pour les trois prochains mois (entre les consultations et la gestion de l’orphelinat, c’est à peine si j’ai du temps pour dormir !), mais l’opportunité de passer de nouveau du temps avec lui m’a semblé immanquable. De quoi a-t-il besoin ? je ne peux que conjecturer, nous avons rendez-vous la semaine prochaine et j’ai l’impression d’être le plus impatient des deux !

[…]

C’était une étrange consultation. Ansart était très poli, c’est un homme aux manières impeccables. C’est fou, je n’arrive pas à lui fixer un âge, il a l’air à peine plus âgé que moi pourtant je lis au fond de ses yeux qu’il a vu de quoi satisfaire plusieurs vies. Il paraissait bien plus timide que lors du gala, presque gêné, embarrassé. Ansart m’a expliqué qu’il avait besoin d’une personne à son écoute car des rêves étranges le tracassent ces derniers temps. Il dit qu’ils sont trop réalistes et ressemblent davantage à des souvenirs vécus par quelqu’un d’autre, ou d’une vie passée. Il m’en a décrit un, celui où il est enchaîné dans une pièce noire, le corps parcouru de symboles étranges, des tubes enfoncés dans les veines. Et il me dit que cela ressemble à un souvenir plutôt qu’à un banal rêve ?

[…]

C’était notre huitième rendez-vous, aujourd’hui. Ansart m’a demandé si je croyais en la magie. Cela m’a beaucoup surpris, venant d’un homme aussi rationnel que lui, et j’ai cru au début qu’il se moquait de moi ou qu’il me jouait un tour, mais son regard était on-ne-peut-plus sérieux. Je me considère pour ma part comme un individu particulièrement terre-à-terre, je ne suis pas fan des tours de passe ni des spectacles d’illusionnisme, mais ma réponse n’a pas semblé le contenter, bien qu’il ne se soit pas davantage étendu sur le sujet. Aujourd’hui, le rêve qui le torturait, peut-être plus que les autres si je me fie à son langage corporel, concernait son apparente famille. Une épouse et une fille. Il fait un blocage et son esprit n’arrive pas à aller plus loin que de simples sensations de défaitisme et de pessimisme. J’ai beau me pencher sur son cas, essayer de remonter à des traumatismes d’enfance, d’éventuelles blessures émotionnelles de son passé, mais il est incapable de me répondre. Vraiment. Il ne joue pas la comédie, il est sincèrement ignorant de sa vie avant un certain point de l’âge adulte.

[…]

Dix-septième rendez-vous. Les choses vont mal avec Becky, en ce moment. Nous n’arrivons pas à concevoir, et cela commence à prélever un lourd tribut sur notre mariage. Comme si cela ne suffisait pas, l’orphelinat ne parvient pas à rester stable. Nous avons trop de dettes, je crains qu’il nous faille le fermer bientôt. Je n’étais pas vraiment concentré lors de ma consultation avec Johannes. Je me suis ouvert avec mon coupe-papier. Je ne sais pas comment j’ai fait. J’étais convaincu que je l’avais laissé à un bout du bureau, et soudain il était planté dans ma main. Je ne l’ai même pas senti ! La douleur m’a submergé seulement quand je l’ai remarqué, mais Johannes l’a calmée, j’ignore comment, seulement en me pressant un peu le poignet. Nous avons écourté notre séance et il m’a emmené aux urgences. Il est resté avec moi tout du long, bien qu’il ne se soit pas montré excessivement bavard. Nous n’avons pas reparlé de ses rêves.
(Note de R : typique, cette façon perfide d’utiliser ses pouvoirs sur les métaux et l’électricité pour blesser un innocent et se porter à son secours. Combien de victimes a-t-il mises sous sa coupe en jouant les faux amis ?)

[…]

Vingt-troisième rendez-vous. Cela fait six mois que Johannes est devenu mon patient. Sans que je m’en rende compte, nos rôles se sont subtilement inversés. Il m’arrive de me confesser sur les troubles de ma relation avec Becky et sur mes inquiétudes concernant l’avenir sombre de l’orphelinat. Je trouve en Johannes une oreille attentive et compatissante. Quelque chose d’incompréhensible me pousse à lui parler, à me livrer à lui. Quand je reprends mon rôle de médecin, il me narre à son tour ses angoisses, notamment ses mêmes rêves qui le hantent. Parfois j’ai l’impression que quelque chose cloche, qu’il ne s’ouvre pas réellement à moi, mais plutôt qu’il me récite des textes appris un peu trop par cœur. Je vais tâcher d’y être plus attentif…

[…]

Trente-septième rendez-vous. Becky est partie depuis trois semaines déjà, en me laissant les papiers de demande de divorce sur la table. Les enfants de l’orphelinat sont dispersés dans d’autres établissements mieux équipés… Toute ma vie est en train de s’effondrer. Et pourtant il est toujours à mes côtés. Johannes. J’ai hâte de nos sessions hebdomadaires, elles constituent mon unique réconfort dans cet océan de noirceur qu’est ma vie en ce moment. Sans son soutien, il y a longtemps que j’aurais essayé d’en finir.

[…]

J’ai essayé d’en finir. Mais il était là. J’ai avalé des comprimés, et il a réussi à refaire partir mon cœur juste en me touchant. Il était venu me voir, chez moi, pour m’annoncer une nouvelle heureuse : son trust, Rauð Stjarna, a racheté entièrement les dettes de l’orphelinat ! Comment a-t-il fait ? C’est un miracle ! Je commence effectivement à me demander si la magie n’existe pas, en fin de compte. Bien sûr, je suis à l’hôpital pour un moment. Il vient me voir tous les jours, m’assurant que c’est ce que font les amis. Puisque nous sommes amis, il m’a dit de l’appeler désormais Vinur, car c’était ainsi que ses amis le nommaient. Apparemment c’est de l’Islandais. Il m’a dit qu’il a entrepris des travaux pour agrandir l’orphelinat, je suis impatient de voir ce que cela va donner.

[…]

J’ai failli commettre l’irréparable. J’ai appris que Becky allait avoir un enfant. J’ai complètement perdu la raison et j’ai essayé de… Je me souviens distinctement de la sensation de la peau de mes mains qui s’imprimait dans la chair de son cou. Mais Vinur est arrivé, juste à temps, alors que j’étais sur le point de… je n’ai pas de mot pour l’écrire. Il était véritablement furieux, je ne l’ai jamais vu autant en colère, j’ai bien cru qu’il allait me frapper ! Il a touché Becky du bout des doigts et elle s’est automatiquement endormie. Comment fait-il cela ? Ensuite, il m’a expliqué qu’il connaissait bien un moyen de m’aider à traverser cette passe difficile, sans que je m’abaisse au meurtre, mais qu’il a besoin de ma confiance indéfectible. Après tout ce qu’il a fait pour moi, je suis prêt à remettre ma vie entre ses mains. Aveuglément.

[…]

Je me sens différent… j’ai… Je ne sais pas comment le dire. Vinur m’a administré un remède contre mes angoisses, et on a suivi une procédure très stricte qui tenait davantage du mysticisme que de la science. J’ai reconnu exactement les rêves qu’il me décrivait si précisément. Nous avons pris place dans les nouveaux sous-sols de l’orphelinat. On aurait dit une sorte de laboratoire, du genre qu’on ne verrait que dans les films d’horreur. Tout du long, Vinur est resté avec moi. Il m’a tenu par la main, comme il l’aurait fait à un enfant, et m’a mené à une table. On m’a attaché, dessiné des runes sur le corps, et injecté un… je ne saurais dire. Un sérum ? C’était rouge et noir, on aurait dit du sang, peut-être. Le traitement a été abominable, j’ai cru mourir. Mes entrailles se sont liquéfiées et reconstituées plusieurs fois à la suite. Je ne me sens pas que différent… je suis quelqu’un de différent. Vinur m’a semblé content du résultat.

[…]

Vinur m’a expliqué ce qu’il attendait de moi. Il veut rendre le monde meilleur. Il veut le sauver, et il a besoin de moi pour cela. Moi, aider quelqu’un comme Vinur pour arranger le monde ! C’est plus qu’un honneur, c’est une véritable gloire. Depuis mon traitement, je suis plus curieux, j’ai envie de créer, d’inventer, et Vinur attend de moi que j’aide des enfants, exactement comme il m’a aidé. Il me fournit le même sérum étrange, ou presque le même car je constate des différences notables dans la couleur, et je mène mes expériences au fur et à mesure sur les pensionnaires de l’orphelinat. Très peu survivent à leur première injection, les autres deviennent instables et finissent par perdre la tête. Je vais devoir affiner la formule.

[…]

Je ne parviens pas à affiner la formule, je manque d’informations. Vinur ne semble pas être en mesure de me les donner, mais il m’a indiqué où les trouver. Je suis en route pour l’Islande. La fille de Becky a rejoint l’orphelinat après la disparition tragique de sa mère et de son père, qui qu’il fût. Comme Vinur passe de moins en moins de temps dans la région, j’ai pu lui cacher ce fait. J’ai l’intention d’utiliser cette gosse, cette Sélène ou que sais-je, pour réaliser mon chef-d’œuvre : recréer Becky. Une vraie Becky, qui ne me quittera jamais. J’espère que les renseignements que je trouverai en Islande me seront utiles.


Quoi que le Dr Reeves ait découvert lors de son voyage en Islande, cela a fini par payer car la “Becky” qu’il a voulu créer a pu voir le jour. Sélène s’est fait transformer par ce fou furieux, qui a réussi, pour la stabiliser, à la lier à un corbeau. Comment ça marche, aucune idée ! Je ne suis que le corbeau en question ! Enfin, j’étais… Le brave Dr Reeves a voulu jouer à Dieu, et il n’a réussi qu’à foutre en l’air l’ordre établi. Je sais que le fameux sérum qu’il a utilisé pour ce faire n’était rien d’autre que le sang corrompu de Vinur. De son sang sommes-nous “nés”, Sélène et moi, ce qui fait de lui techniquement une sorte de père. Mais comment en est-il arrivé là à ce besoin, à cette obsession de reconstituer le chaînon manquant entre les humains sans pouvoirs et les créatures surnaturelles ? Pourquoi cette envie de créer artificiellement de tels êtres ?

J’ai fait le voyage jusqu’en Islande à mon tour. Autant chercher une aiguille dans une botte de foin, car Vinur est un alias, Johannes Ansart également, et je doute que son véritable nom soit son nom de naissance. Au terme d’une longue expédition, j’ai fini par découvrir une sorte de tertre qui recélait les ruines d’une place-forte souterraine datant d’au moins trois siècles. J’ai su que c’était le bon endroit quand j’ai reconnu les mêmes instruments qui avaient servi, dans les sous-sols de l’orphelinat (je dirais même des orphelinats, car il en exploitait partout dans le monde), à détruire d’innombrables vies et à donner naissance à la mienne et à celle de Sélène. C’était un lieu qui sentait la mort et le mal. Des évènements véritablement sordides avaient transpiré ici…

En fouillant aussi minutieusement qu’un archéologue, j’ai mis la main, après plusieurs jours de recherche, sur des papiers rédigés de la main d’un certain Reika. En les parcourait, un frisson de terreur m’a secoué de la tête aux pieds. Vinur était un adversaire redoutable, mais ce Reika était, à en croire ses propres mots, son créateur, et un fanatique peut-être plus dévoué encore à sa cause délirante. N’ai-je fait que vaincre l’élève sans me douter que je faisais de la place pour le maître ? J’ai à nouveau sélectionné les éléments les plus intéressants de ses compte-rendus :

Cahiers de Reika Svarnati :

Je veux consigner dans ces papiers l’entièreté de mon récit à partir de maintenant. Il y a peu j’étais encore prisonnier des geôles de ces humains craintifs, et je frémis de savoir quelles abjectes créations ils ont pu concocter avec ma chair et mon sang. Ceci est un jour nouveau pour l’humanité, car j’ai désormais compris que c’était la magie qui causait le chaos dans le monde. Les humains sont trop fragiles pour se défendre eux-mêmes, ils ont donc recours à des techniques et des technologies qui, à terme, les détruiront. Je suis un Djinn, il relève de mon devoir d’aider l’humanité, comme je le faisais durant les siècles passés, et que je le ferai durant les siècles à venir.

[…]

Je me suis échappé de cette prison. Dans un accès de rage incontrôlée, à ma grande honte, j’ai tué mes tortionnaires. Un par un, il ne reste plus rien d’eux que des taches de sang sur les murs. J’ai constaté alors les travaux qu’ils menaient ici. Ils utilisaient mon sang et, par un rituel odieux, l’injectaient dans des cobayes pour constituer une armée de surhommes capable de rivaliser avec les créatures surnaturelles. Des monstres artificiels, en quelque sorte. Le sang qu’ils m’ont prélevé, je l’ai trouvé dans des myriades de tubes, dénaturé et perverti par une sorte de magie noire que même moi, dans ma plus grande curiosité, je n’ose vouloir comprendre… À quelles extrémités les humains en sont réduits s’ils doivent souiller l’essence-même de la magie pour espérer équilibrer le combat.

[…]

J’ai exploré ce… complexe, et j’ai découvert des cellules assez similaires à la mienne. Chacune retenait un à deux prisonniers, tous des cobayes des expériences insanes qui se sont déroulées ici. Des victimes. Tous des humains et des humaines qui ont été… modifiés. Altérés. Des pouvoirs se sont éveillés en eux. Des pouvoirs issus de mon sang, ce qui fait de moi, j’imagine, leur père en quelque sorte. C’est par ma faute s’ils sont ainsi, désormais, mais je veux, je vais me racheter. Ils sont mes enfants, et je les traiterai en tant que tels.

[…]

Je l’ai trouvé dans le cachot le plus au fond du couloir. J’ignore s’il s’agit du premier ou du dernier à avoir subi ces ignobles expérimentations. C’est un homme d’une quarantaine ou d’une cinquantaine d’années (difficile à dire, en âge humain). Cheveux noirs, yeux bleus. Il a le port altier d’un officier militaire, peut-être est-ce un capitaine ou une sorte d’aristocrate. Il dit se nommer Meyvant Eldorssón. Époux de Signy et père d’Agnes. Il m’a expliqué avoir jadis servi dans les corps d’armée danois. et comme il perdait de sa vigueur et de sa force avec l’âge et l’usure des batailles, il a accepté de participer à un programme novateur. Ils se sont servis du sang, de mon sang, pour transformer ce père de famille en machine à tuer. J’ai compris l’étendue de l’horreur en lisant les notes des pseudo-scientifiques : ils n’ont pas usé que de mon fluide. Il n’était que le liant. Le véritable sérum était composé du sang des proches des cobayes. Il s’agissait d’exploiter leur proximité sentimentale et psychique au maximum pour débloquer leur potentiel de destruction. Quand Meyvant l’a appris, je n’ai jamais entendu un cri de désespoir aussi déchirant. Mon âme-même s’est fendue en deux.

[…]

L’Étoile Rouge. C’est l’Étoile Rouge qui amènera la paix dans ce monde de violence et de chaos. L’Étoile Rouge sera un symbole d’espoir pour les faibles, et de terreur pour les apôtres de la magie. Nous allons éradiquer le mal directement à sa source. Mes enfants sont avec moi, et ensemble nous combattons pour les humains. Dans la nuit, nous affrontons les monstres et les empêchons de régner dans le sang et la cendre. Les filles et les fils de l’Étoile Rouge usent de leurs pouvoirs pour répandre le bien en mon nom, ce qui me permet de me concentrer sur ma tâche principale : dénicher les racines de la magie elle-même. Meyvant en particulier s’avère un atout formidable dans ma quête. Il est vaillant et intelligent. Il s’est vite démarqué comme un meneur d’hommes, et démontre systématiquement un usage très créatif des pouvoirs mis à sa disposition. Mais il est également doté d’une grande compassion. L’autre jour je l’ai vu aider une famille en danger, et il a passé beaucoup de temps à rassurer les enfants. Peut-être même trop de temps…

[…]

Meyvant m’inquiète. De tous mes enfants, il est le plus… réfractaire à mon autorité. Il croit en notre cause, je le sais, mais peut-être trop, justement. Il s’y perd, s’y noie, pour fuir l’horreur de sa réalité. La perte de sa famille prélève un tribut important sur sa psyché. Il m’a confié voir et entendre son épouse et sa fille à diverses occasions. Cela doit être un effet secondaire du traitement, je pense qu’il a été l’un des premiers, si ce n’est le premier à le subir, car ce type d’épisode… psychotique ne se présente pas chez mes autres enfants. À cause de son comportement sinistre et de ses pouvoirs, dont il fait un usage pour le moins… peu conventionnel, ils l’ont surnommé Dimma Dökkhönd. Dimma pour sa noirceur, Dökkhönd pour, littéralement, la Main Noire. Il déteste ce surnom. Je vais tâcher de le surveiller de plus près pour éviter qu’il ne commette l’irréparable.

[…]

Je suis intervenu trop tard. Ne supportant plus la douleur de sa situation, Meyvant a retourné ses pouvoirs contre lui. Dans une bizarre tournure d’évènements, il a survécu… en quelque sorte. Meyvant Eldorssón est bel et bien mort, cependant il semblerait qu’autre chose a pris sa place. J’ai observé cette créature qui se meut dans la chair de mon fils, mais qui n’est pas mon fils. Elle se fait appeler Dimma. Cette… je n’ai pas de mot, pour la décrire. Cette entité m’évoque Meyvant lors de très brefs instants, dans ses maniérismes ou sa façon de s’exprimer, mais tout le reste sonne faux. Meyvant a-t-il essayé de prendre sa propre vie ? Est-ce le résultat de son échec ? Ou bien savait-il pertinemment que son acte donnerait naissance à cette chose inhumaine ? Il y a tant d’éléments qui m’échappent… En dépit du dégoût qu’il m’évoque, je ne peux me résoudre à l’éliminer. Il s’agit de mon fils, après tout, et il est de ma responsabilité d’assumer les conséquences de l’acte tragique que je n’ai pas su prévenir.

[…]

J’ai compris comment il s’y est pris. Meyvant s’est “effacé”. Il a supprimé tout ce qui avait trait à sa personnalité, ses souvenirs, son identité. Il ne reste de lui que des fragments brisés qui se sont reconstitués sous la forme de ce… Dimma. C’est effrayant. Dimma est une personne complètement différente, si on peut appeler cela une personne. Ce n’est guère plus que l’arme forgée par Meyvant pour mener à bien une mission qu’il ne se sentait pas capable d’accomplir. Dimma est l’héritage de sa détermination, sans l’entrave de la morale. C’est un couteau affuté qui n’existe que pour trancher, trancher, trancher, un instrument de mort qui n’a aucun autre objectif que d’anéantir ses ennemis. Je crois que je peux corriger cela, et changer Dimma en quelque chose de positif, le canaliser pour honorer correctement la mémoire de mon fils disparu.

[…]

J’ai dû bannir Dimma de l’Étoile Rouge. Il contestait mon autorité et commençait à retourner les autres contre moi, mais je crois que l’étincelle qui a mis le feu aux poudres, c’était son obsession dérangeante avec l’idée de reproduire l’expérience qui a donné vie à l’Étoile Rouge. Purgé de tout ce qui faisait de Meyvant un homme bon et honorable, Dimma a tenté de faire injecter son propre sang dans des innocents pour… je ne veux pas le savoir. Il est hanté par ce besoin irrépressible. Des familles entières massacrées pour satisfaire son obsession… Nous avons eu un conflit, lui et moi. Un conflit violent. J’ai triomphé, mais je ne me suis pas trouvé le courage de le tuer… Je l’ai donc laissé partir, mais je vais toujours garder un œil sur lui. J’ai enfin découvert l’origine de la magie, et il ne faut pas, il ne faut surtout pas que Dimma s’en approche. Il constitue un élément trop volatile pour que je lui permette de déranger mes plans… Quand je serai parvenu à mes fins, cela n’aura plus d’importance, de toute manière.


J’ai quitté l’Islande avec une affreuse sensation qui m’a noué l’estomac sur tout le trajet de retour. J’ai pondéré tous les éléments à ma disposition afin de dresser un portrait en trois dimensions de Dimma Dökkhönd. Il était plus facile de me dire que c’était un monstre sanguinaire, un terroriste doublé d’un meurtrier, plutôt qu’une victime que, peut-être, j’aurais pu sauver. Je me souviens encore de ma main tendue qu’il a préféré refuser plutôt que de saisir. À quel moment peut-on considérer une créature pareille digne de compassion, voire de pitié ?

Sous ses ordres, Reeves a créé une petite légion de monstres artificiels, comme lui, qu’il considérait d’une certaine façon comme sa progéniture. Était-ce dû à un besoin latent de Meyvant Eldorssón, un résidu de sa personnalité passée ? À de nombreuses reprises, Sélène, moi-même et d’autres avons combattu Dimma et ses projets, bien que cela se soit parfois passé beaucoup moins bien que ce que je veux le faire croire. Nous avons fini par le vaincre, et avons poursuivi nos vies, libérés du poids de sa sinistre présence. Ce fut quand Sélène eut deux enfants, des jumelles, que Dimma ressurgit, exactement comme s’il n’avait attendu que ce moment. Je revois encore cet évènement à chaque fois que je ferme les paupières, un cauchemar qui se répète en boucle. Je revois Sélène mourir devant moi, je vois Thibalt tenir leurs enfants contre lui pour les protéger, je le vois lui… le regard glacial, son masque dissimulant ses émotions déjà inexistantes. Je crois que le pire c’est quand j’ai reçu l’énergie de Sélène, le contrechoc de sa disparition, et que cela m’a transformé en ce… que je suis aujourd’hui. Si je n’avais pas été à ce point consumé par la rage, l’impuissance, le chagrin, j’aurais éclaté de rire en voyant l’air ahuri de Dimma.

J’ai porté Thibalt et les enfants jusqu’au Triangle des Bermudes, mais bien sûr, quand je suis revenu m’occuper de Dimma, il avait disparu. J’ai passé les années qui ont suivi à le traquer. Sans cesse. Pour accomplir ce que ce Reika avait été trop lâche de faire. Nous nous sommes affrontés plusieurs fois, et maintenant que j’en sais plus, je ne peux que rire amèrement devant l’ironie de la même histoire qui se répète, celle d’un fils rebelle qui s’oppose aux désirs de son père.

Tout s’est terminé au-dessus du Triangle des Bermudes, ironiquement. Sélène avait voulu s’y rendre de son vivant, soi-disant pour atteindre un monde où ils seraient à l’abri. J’espère que Thibalt et les filles l’ont bien découvert, ce lieu utopique… Dimma a dû lui aussi découvrir cette rumeur, pourquoi s’y serait-il rendu aussi ?

Tout se prêtait au dramatique d’un affrontement final entre un père psychopathique et son enfants mi-homme mi-corbeau. La tempête, les éclairs, les vagues déchaînées, le navire qui tanguait. Maintenant que j’ai le recul nécessaire, je comprends mieux les évènements qui ont suivi. L’un des sbires de Dimma, je dirais même l’un de ses plus proches collaborateurs, devait œuvrer en réalité pour ce Reika, car pourquoi l’aurait-il trahi à ce moment bien précis ? Le bateau avait été saboté, il se disloqua en de multiples gerbes de flammes et une pluie de débris de métal avant de sombrer. Dimma lui-même fut poignardé par son lieutenant, et lorsque que je vins lui tendre la main, il préféra seulement me mépriser de son regard glacial, et disparaître sous les flots tumultueux.

Aujourd’hui, que reste-t-il de l’héritage de cet homme ? Tous ceux qui l’ont connu sont soit morts, soit… moi. Suis-je réellement tout ce qu’il reste de lui ? De… ça ? J’ai beau faire le clair dans mon esprit, je ne parviens toujours pas à discerner le vrai du faux, le bien du mal… Ce qu’il faisait était irrémédiablement, indiscutablement mauvais. Mais quelque part en mon for intérieur, je ne peux m’empêcher d’avoir de la peine pour cette âme déchiquetée. Meyvant était quelqu’un de bon, semble-t-il, mais au bout du compte, Dimma n’a jamais eu une autre choix que d’être ce qu’il est. Il a été créé uniquement pour exaucer la dernière volonté d’une personne qui, tristement, a cessé d’exister pour cela.

Quel destin pitoyable.



Je me suis retrouvé ici par Stan. Je suis âgé de 30 an et je trouve vraiment que ce forum est super fabuleux. Mon avatar est Amon de Avatar Legend of Korra. Je vous offre finalement le code du saint règlement qui est Shën approuve ton code !


Qu'est-ce qui m'attend à présent?


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Pouvoirs/Capacité: Ses yeux deviennent entièrement noirs lorsqu'elle utilise n'importe lequel ses pouvoirs. Et des tatouages en écriture étrange se balade sur son corps lorsqu'elle utilise ses portails de téléportation / voler avec l'aide d'ailes noir
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MessageSujet: Re: Dimma Dökkhönd [TERMINÉ]   Dimma Dökkhönd [TERMINÉ] EmptySam 20 Nov - 11:35

Mmmmmmh ça sent le retour de mon oncle Rasmus boy ça!

Trop contente que tu sois venue! Bienvenue! salut

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MessageSujet: Re: Dimma Dökkhönd [TERMINÉ]   Dimma Dökkhönd [TERMINÉ] EmptyDim 21 Nov - 0:41

Bonjour mon mignon ~ Vous m'avez l'air à croquer. J'espère que nous aurons l'occasion de nous amuser tous les deux ♥
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MessageSujet: Re: Dimma Dökkhönd [TERMINÉ]   Dimma Dökkhönd [TERMINÉ] EmptyJeu 25 Nov - 14:11

Merci, merci.

Enfin, non, pas merci. Je veux pas me faire croquer. Non.

Juste… non.

Juste… absolument, résolument, non.

La fiche est terminée, mais je suppose que ça ne m'épargnera pas le *frissonne* croquage. Croquement. Croqûre.

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MessageSujet: Re: Dimma Dökkhönd [TERMINÉ]   Dimma Dökkhönd [TERMINÉ] EmptyJeu 25 Nov - 21:13

Félicitation!
Te voilà validé mon cher! ••• Tu peux à présent te balader, rp dans Azuola et faire aussi la demande de métier ici et ouvrir ta fiche de lien et rp par là et déclarer ton métier juste là. Afin de gagner plus rapidement des points, tu peux effectuer des missions en fonction de ton groupe. Et n'hésite pas à faire un tour à la boutique à points afin que tu aies une petite idée du nombre de points qu'il te faudra pour avoir ce que tu désires.:copyright: 2981 12289 0

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