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 Nigel Adwing - l'avocat de la justice au nom du bien

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2 participants
AuteurMessage
Nigel Adwing

Nigel Adwing

Messages : 116
Date d'inscription : 02/07/2022
Emploi/loisirs : avocat

Nigel Adwing - l'avocat de la justice au nom du bien Empty
MessageSujet: Nigel Adwing - l'avocat de la justice au nom du bien   Nigel Adwing - l'avocat de la justice au nom du bien EmptySam 2 Juil - 18:39




Je viens d'arriver à   Azuola




Nigel Adwing



Mon nom est Nigel Adwing, je suis humain et je suis âgé de 36 ans. Je suis originaire des Etats-Unis, New York plus précisément. Je suis dans le groupe néos et mon orientation sexuel est hétéro et je suis actuellement célibataire.


Me décrire

Caractère:
☾SÉRIEUX ☾ LOYAL ☾ BIENVEILLANT ☾ DISCRET ☾ PROTECTEUR ☾ VIGILANT ☾ RÉFLÉCHI ☾ PUDIQUE ☾ RÉSERVÉ ☾ DÉTERMINÉ ☾ FÉROCE  
Ce qu'il aime:
✔ la glace à la menthe
✔ Lire
✔ La pluie
✔ La justice (la vraie)
✔ Le contrôle
✔ Sa sœur et son frère
Ce qu'il déteste:
✘ Les meurtriers
✘ Les lâches
✘ Les faux-semblants
✘ Les hôpitaux
✘ Suivre les ordres d'incompétents
✘ Les carottes
Mensuration:
⁂mesure 1m85
⁂pèse que 75kg
Détails physique à savoir :
Aucun
Ses pouvoirs avec point faible:
- il peut voir les âmes comme des chaînes recouvertes d'un halo de couleur.
- les couleurs changent en fonction de l’état d’esprit de la personne/créature/autres, et peuvent avoir des significations parfois diamétralement opposées.  
La Symbolique des couleurs :
Blanc - paix intérieur, calme, prospère mais aussi une personne froide et calculatrice, généralement impassible.
Noir : mélancolie, en deuil, tristesse, peur, austérité, renoncement (généralement la dépression), qui peut mener à la mort, à des envies de mort, mais ça peut aussi montrer quelqu’un qui se sent très confiant en lui, et qui a l’esprit très ouvert sur la nouveauté.
Rouge : une personne qui généralement aime le sang et le feu, donc le danger et qui aime faire des choses interdites, notamment tuer, torturer, mais aussi réprésente la passion et l’amour, l’érotisme, et aussi quelqu’un qui se sent de vivre dans le luxe et la richesse.
Bleu : quelqu’un qui est croyante (relation au divinité), qui est généralement en union avec son environnement, ou quelqu’un qui s’évade dans les rêves ou qui s’échappe à la réalité par un autre biais (livre, film, musique, etc), ou ça peut être quelqu’un qui a froid.
Jaune : quelqu’un qui est heureux, chaleureux, joyeux, plein d’énergie, et qui aime le soleil et la chaleur, mais ça peut aussi être quelqu’un de fou, de malade, ou une personne enclin aux mensonges et à la trahison.
Vert : quelqu’un de chanceux, chez qui les hasards portent chance, une personne positive qui a de l’espoir, aussi une personne qui aime la nature, ou l’écologie en général, une personne éprise de liberté.
Rose : c’est généralement plutôt les personnes qui se sentent féminines, des personnes douces, mais aussi sensualité, et généralement pleine de candeur et d'innocence.
►Le mélange des couleurs peut jouer sur le résultat également - exemple : violet = bleu + rouge = ça peut être un extrémiste religieux aux tendances meurtrières, ou quelqu’un qui fait l’amour et qui perd le sens de la réalité pendant l’orgasme ;
Histoire


Je n’avais pu les protéger à l’époque, ce jour où nos vies basculaient. Encore moins elle, ma petite Helga, qui à jamais garda la vision de nos deux parents morts, étendus sur le sol. Le plus grand regret de ma vie. Heureusement, ma petite sœur était forte, et elle se forgea un caractère que rien ne pouvait briser. Je gardais cependant l’intime conviction qu’elle était forte parce qu’elle savait qu’au moindre problème, nous serions là pour l’aider à se relever au besoin. Mon rôle de grand-frère comblé par cette idée, je m’étais plongé dans ce que je souhaitais faire plus tard.

Je fis de la justice un point d’honneur dans ma vie. J’allais faire en sorte qu’elle soit rendue, et la rendre au besoin si celle-ci me laissait tomber. C’était la conviction qui guida ma vie et je devins particulièrement acharné dans cette idée. Rendre la justice pour mes parents, et pour apaiser l’esprit de mes deux petits frère et sœur. Cependant, mes études m'accaparaient tellement que ma sœur et mon petit-frère devaient s’occuper de la maison en mon absence. Notre oncle, aussi gentil soit-il, était totalement pris par son travail et rarement à la maison. Mais Helga se débrouillait comme une grande - même si la cuisine n’était vraiment pas son fort. Mais elle le faisait avec amour, alors à part quelques grimaces, je l’acceptais avec dépit.

Bac en poche, la nouvelle me vint alors comme un électrochoc. Le meurtrier de nos parents était relâché, faute de preuves avaient-ils dit. Des preuves ? Si j’avais été aux commandes, jamais ils n’en auraient manqué. J’aurais su faire mon travail contrairement à ses incompétents. Mais ce qui m’enragea plus fut de voir la réaction d’Helga. Elle qui avait été témoin de leur mort, la première à les trouver, elle sombra dans la haine pour cet enfoiré. Et de la même manière que moi, elle voulait rendre justice. Mais sur le terrain, pas derrière les barreaux. Plus raisonnable, je n’en étais pas moins en colère. Ce salopard s’échappait comme si de rien était, la soit-disante justice faisant son travail. Détestable.  

Pour me remettre de ma frustration, j’avais travaillé de manière acharnée, et j’avais tout fait pour devenir avocat. Remettre la justice là où elle devait être. Je m’étais lancé dans le droit des affaires, pour les entreprises privées plus précisément. Pendant mes études, j’étais si concentré que je ne la vis pas tout de suite, Jessie. C’est quand nous étions tous les deux jeunes avocats sur la même affaire que je fis vraiment sa connaissance. Jessie n’était pas du genre timide et allait droit au but. Elle me dit que je lui plaisais et souhaitait qu’on s’essaie, tous les deux. Sans peine, je fus charmé par son charisme et son audace, notre relation débuta ce soir-là, dans un restaurant chic devant un verre de vin.

Jessie devint ma femme dans les quelques années qui suivirent, me donnant un peu de bonheur. Parce que là où ma vie de famille était belle, mon travail, lui, m’enfonçait de plus en plus dans un désespoir sans fin. Le milieu était pourri jusqu’à l’os. à force d’enquête, grâce à la jugeote d’Helga et à mes contacts gagnés au fils de mes affaires, j’appris que le meurtre prémédité de mes parents était dû à la simple jalousie d’un homme et de son incapacité à tenir son entreprise. Avait-il décidé que son ingérence était la faute des mes parents ? C’était l’hypothèse la plus probable. Mais des entreprises incapables, minables et véreuses, il y en avait beaucoup. Ils se crachaient dessus, rejetant la faute de leur incompétence sur l’autre. Une colère sourde m'envahit petit à petit.

Jessie, elle, était comme un poisson dans l’eau. Et plus nous en parlions, plus la scission était présente. Le jour où je décidais de quitter notre bureau commun, ce fut la goutte de trop. Nous ne nous comprenions plus, elle et moi. Elle disait ce métier être le plus beau, mais que j’étais incapable de le voir à cause de mon obsession pour un faux meurtrier. La douleur de cette attaque me fit trop mal et je la quittais pour de bon. Les papiers étaient signés rapidement, ma petite Marie avait 3 ans. C’est dans cette période que je changeais radicalement mon fusil d’épaule : je devenais avocat pénal, et je m’intéressais plus particulièrement aux affaires de meurtres. Et je fus très bon dans ce que je faisais.

L’année qui suivit, Helga nous contacta avec une idée pour faire tomber l’enfoiré qui tua nos parents. La justice avait failli, alors cette fois-ci, c’était nous qui allions la rendre. Helga m’amena des preuves, que Georges et elle avaient fabriquées. Mais qu’importe, puisque celles-ci devinrent véritable dès mon intervention auprès du procureur. Ainsi, il sombra, et Helga gagna enfin la paix dont elle méritait. Et moi, la justice que j’avais espérer obtenir. Notre vie commença alors sa monotonie et je me plongeais dans le travail, veillant sur ma petite sœur, soupirant devant la trop grande boule d’énergie qu’était Georges, et observant ma petite Marie grandir au fil des années.

En 2019, Helga nous prévint qu’elle partait voir notre oncle en Nouvelle-Zélande de toute urgence. Elle n’entrait jamais dans les détails, mais elle parla “d’hôpital” et de “fin”. Je ne posais pas de question, mais je compris que notre oncle partait. Helga serait sans doute très triste, elle s’était beaucoup attachée et perdre à nouveau un deuxième parent sera très dur pour elle. Mais on eut à peine le temps d’en savoir plus. En un éclair, une étrange épidémie toucha une partie du monde et on apprit que la Nouvelle-Zélande avait bien été attaquée. Georges était en panique - étant médecin, il devait sûrement en savoir beaucoup plus que moi - et sans une hésitation, nous volions jusque là-bas pour retrouver notre petite soeur. Et c’est à l’hôpital que nous la retrouvions, dans le coma.

Georges a pleuré ce jour-là. Il n’avait jamais vu Helga à l’apparence aussi fragile, et ça lui fit un choc. Je suis resté avec les deux, Georges s’étant endormi à côté d’Helga, la main dans la sienne. Son optimiste habituel semblait s’être envolé, et rien ne m’avait jamais autant perturbé. Je n’avais pas dormi, cette nuit-là. Et si Helga se réveillait sans que je le sache ? Mais elle ne se réveilla pas. Les semaines passèrent et il fallut bien que je rentre travailler. Deux après, nous recevions enfin son appel. Elle était paniquée à l’idée de savoir si nous avions été touchée par l’épidémie ou si nous étions même encore en vie. Heureusement que je n’étais pas en face d’elle ce jour-là, parce que les larmes dévalaient mes joues et j’étais incapable d’en arrêter le flot.

J’aurais aimé qu’elle rentre après cette étape, plus près de nous, pour que nous ne nous séparions plus. Mais elle resta là-bas, travailla avec les forces locales pour tenter de comprendre la raison de ce mal. Moi, de mon côté, je me sentais impuissant. D’apparence, Helga nous laissait voir qu’elle avait trouvé un sens à sa vie et qu’elle allait bien. Mais elle était très forte pour nous cacher quand ça allait mal, pour ne pas nous inquiéter sans raison. ça m’avait toujours passablement agacé mais qu’y pouvais-je ? C’était sa force et sa faiblesse, et pour rien au monde je ne lui demanderais de changer qui elle était.

Elle nous demandait souvent de l’aide, à moi et Georges, pour l’aider dans son enquête sur l’épidémie. J’appris qu’elle travaillait avec quelqu’un, là-bas, en Nouvelle-Zélande. Elle semblait satisfaite de leur recherche, d’autant qu’elle demandait de l’aide dès qu’elle pouvait à plusieurs personne. Je ne connus jamais en détail l’affaire sur laquelle elle était, comme si elle souhaitait nous en protéger. Et puis un beau jour, elle nous contacta, moi et Georges. J’entendais sa frustration et sa déception, également. Elle nous dit que son “collègue” s’était fait la malle, sans rien lui dire, et qu’elle n’avait plus rien à faire ici, seule. Elle voulait rentrer. Georges et moi n’allions sûrement pas lui dire non et nous nous préparions déjà à la revoir.

Sauf qu’elle n’arriva jamais. On attendit à l’aéroport, jusqu’à ce qu’une annonce soit faite. L’avion avait disparu, au-dessus de la mer. On avait paniqué. J’arrivais d’habitude à garde rmon sang-froid, mais je n’avais jamais imaginé qu’Helga pourrait être morte. La simple idée me mettait dans un état de stress comme je ne l’avais jamais connu. La recherche de l’avion fut d’abord notre priorité. Je me trouvais vite face à une impasse : l’avion s’était comme volatilisé. C’était impossible. La recherche de l’avion devint vite un obsession pour moi et j’en oubliais presque Marie. Jessie souhaita que je perde la garde totale de ma fille mais je lui avais hurlé dessus ce jour : “Une fois dans ta vie, essaie d’être compatissante ! On parle de ma soeur !”. Dans ce regard, j’avais vu l’incompréhension. Après tout, à ses yeux, Helga était déjà morte. Je n’avais jamais vu un cœur de pierre comme le sien. “C’est plutôt toi qui devrait perdre sa garde”, lui avais-je alors lancé. Mais je ne voulais pas, contrairement à elle, la priver de sa mère.  

Quelques jours plus tard, je fus contacté par un drôle de personnage. Celui-ci disait être l’information d’Helga, et il avait été engagé par elle pour retrouver son collègue disparu. Depuis, il avait appris la disparition d’Helga. Au début, j’avais dû mal à croire son histoire. Mais il me montrait des preuves, et je savais les reconnaître lorsqu’elles étaient fausses. Il me parle d’une histoire encore plus improbable : une organisation et des créatures. Quelque chose de non humain ? “Vous déraillez”, lui avais-je fait remarquer avec toute la sympathie dont je pouvais faire preuve. Mais l’homme y croyait durement, et il m’avait dit de simplement me concentrer sur l’avion. Lui irait chercher des traces ailleurs.

Et en effet, parce que je perdis tout contact avec lui plusieurs mois plus tard. Il avait disparu de la circulation tout comme l’avion dans lequel Helga s’était perdue. Tout m’avait paru fou. Georges m’avait dit de suivre la piste de cette organisation. De nature toujours plus optimiste que la mienne, il croyait à l’histoire de ce Marik Scudder. Georges espérait véritablement qu’Helga soit toujours en vie, il y croyait de toute son âme. Et je voulais y croire, moi aussi. Je suivis les conseils de mon frère et, avec tout le réseau dont je pouvais disposer, je cherchais des informations. Et cette organisation était ce qu’on pourrait appeler “secrète”.

Je finis par avoir un indice et me décidais à prendre un bateau en direction du nord de la Guyane. Là-bas, je devais rencontrer un informateur sur cette fameuse organisation. J’avais laissé Marie chez sa mère en lui précisant que j’avais un voyage d'affaires qui pourrait durer quelque temps, puis j’avais dit à Jessie que c’était ma dernière piste pour tenter de retrouver ma petite-sœur. Elle n’avait rien dit de plus.

Sur le bateau, je contactais Georges pour le tenir informer de mon avancement quand je vis un orage se profiler à l’horizon. Peu inquiet par les intempéries, je filais me couvrir à l’intérieur lorsque je vis une enfant dehors. Je paniquais soudainement. Sous la pluie ? Une enfant ? J’ai couru dehors pour l’attraper par le bras. La petite pleurait, visiblement effrayée et perdue. Je la prenais contre moi pour la ramener vers la porte lorsqu’une grosse secousse me fit chuter violemment. J’avais, par chance, réussi à protéger l’enfant et à m'agripper à une barre avant de glisser sur le sol trempé. J’entendis un hurlement de femme et vit semble-t-il la mère en panique, un homme tentant de me rejoindre.

Je ne réfléchissais pas à deux fois. Je jetais l’enfant dans les bras de l’homme qui, heureusement, la rattrapa et glissais contre les barres du navire. Une seule fois dans ma vie, il fallut que la chance me frappe de manière aussi inattendue qu’impossible. Les barres qui me retenait de tomber dans le vie craquaient soudainement, et je me sentis tomber dans le vide. Le temps sembla s’arrêter, dans le tumulte de la tempête provoqué par l’orage, et le bruit assourdissant du tonnerre, tout ça s’échappa soudainement. L’eau s’engouvra dans ma gorge et la puissance des vagues m’engloutissaient. Je ne pouvais rien faire et je sentais mes poumons se remplir d’eau. Il est étrange de ne penser qu’à une seule chose lorsqu’on partait trop vite… et un seul mot me vint en tête avant de perdre connaissance : le regret.




Je me suis retrouvée ici parce que j’ai déjà trois autres comptes ici hihi   salut  . Je suis âgée de 26 ans et je trouve vraiment que ce forum est troooop cool !  love . Mon avatar est Yoo Joonghyuk dans Omniscient’s Reader Viewpoint. Je vous offre finalement le code du saint règlement qui est Validé par Shën !


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MessageSujet: Re: Nigel Adwing - l'avocat de la justice au nom du bien   Nigel Adwing - l'avocat de la justice au nom du bien EmptySam 2 Juil - 19:29

Félicitation!
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