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 Eleanor Burkin - la Poupée délicate

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3 participants
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Eleanor Burkin
Admin
Eleanor Burkin

Messages : 62
Date d'inscription : 11/08/2021
Localisation : Toujours près de Stanislas
Emploi/loisirs : Couturière

Feuille de personnage
Pouvoirs/Capacité: Monde imaginaire - Elle peut créer une autre dimension où elle génère tout ce qu'elle souhaite à l'intérieur, tant qu'elle en a connaissance.. Cet univers tient également office de prison pour l'Eglise Blanche.
Inventaire:

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MessageSujet: Eleanor Burkin - la Poupée délicate   Eleanor Burkin - la Poupée délicate EmptyMer 11 Aoû - 21:06




Je viens d'arriver à   Azuola




Eleanor Burkin



Mon nom est Eleanor Burkin, je suis une création magique et je suis âgée de 92 ans. Je suis originaire d'Azuola. Je suis dans le groupe de l’Église Blanche et mon orientation sexuelle est inconnue. Je suis actuellement célibataire.


Me décrire


Caractère:

☾ Insouciante ☾ Obéissante ☾ Discrète ☾ Délicate ☾ Affectueuse ☾ Naïve ☾ Curieuse ☾ Fondamentalement gentille ☾ Décalée ☾ Douce ☾ Réservée ☾ Innocente ☾ Dépendante ☾ Têtue, parfois ☾ Peu expressive

Ce qu'elle aime:
✔ Stanislas Kozlowski
✔ Les chats
✔ La couture
✔ Les poupées
✔ Les spectacles de marionnettes
✔ Rencontrer des nouveaux ami(e)s

Ce qu'elle déteste:

✘ La solitude
✘ L'enfermement
✘ La violence
✘ Les gens méchants

Mensuration:

⁂mesure 1m40
⁂pèse 30kgs

Détails physique à savoir :

Eleanor a une apparence tout à fait commune, similaire à celle d’une petite fille dans la dizaine malgré son âge originel. Il n’y a aucun changement particulier sur son physique quand elle use de son don. La seule chose est qu’elle ne grandira jamais et restera éternelle.


Ses pouvoirs avec point faible:

Le monde imaginaire :: La poupée possède un pouvoir de type dimensionnel. Elle est capable d’ouvrir une faille dans l’équilibre de ce monde où le temps est totalement altéré par rapport à la réalité d'Azuola. Cette dimension est dictée sur sa seule imagination. Elle peut donc créer ce qu’elle souhaite, à sa convenance, à n'importe quel moment, à partir de sa simple volonté et en possède un contrôle total. Cet univers, elle le remplit bien souvent de ses jeux d’enfant, des peluches, des animaux, des tasses, des tables qui volent un peu partout, des bonbons… Tout ce qui compose sa vision de l’enfance. Mais vous ne pouvez pas y entrer sans vous y faire inviter. Sa capacité est optimale -vous pouvez y passer dix ans que vous aurez disparu seulement une seconde dans le monde réel. Elle peut y accueillir un nombre illimité de personnes.

Ce talent peut tout de même être utilisé en guise de prison pour des humains ou des créatures, ce qui fait d’Eleanor un élément très utile quand il s’agit de cloîtrer des personnes dangereuses ou pour les garder à l’oeil. Dans tous les cas, le potentiel de ce pouvoir chimérique reste très dangereux.

Immunité :: Eleanor ne connaît pas la douleur physique. Elle ne ressent pas de sensations comme le froid ou le chaud et à son contraire, est incapable de ressentir de la douceur. Vous pouvez bien lui arracher un bras aussi, elle ne ressentira aucune souffrance. Cela peut s’avérer être un atout comme une faiblesse. Si elle prend feu par exemple, elle ne s’en rendrait même pas compte. De plus, aucune maladie ne peut la toucher.

Points faibles :: Nous en venons donc ainsi à ses points faibles, en équilibre avec ses capacités psychiques incroyables. Il s’agit d’une créature fragile, qui peut s’abîmer très facilement si elle ne fait pas attention. Un rien peut la détériorer si elle était amenée à tomber ou même se faire un peu trop bousculer par inadvertance. Sa constitution est très fagile, alors évitez de la pousser. Il serait très difficile de pouvoir la confectionner à nouveau. Également, elle a tout de même des impératifs basiques comme se nourrir, boire et dormir mais son métabolisme est beaucoup plus lent et n’a donc besoin que d’une petite ration. Toutefois, soumise aux mêmes règles que les autres, si elle oublie ces fondamentaux, n’en exprimant pas réellement le besoin, elle peut se décomposer. Il lui faut toujours quelqu'un auprès d'elle pour la surveiller. Mais son plus gros point faible reste indéniablement son cœur ensorcelé. Si quelqu’un venait à lui arracher ou bien lui crever, elle en mourrait instantanément.  


Histoire


Le sorcier prenait soin de chaque détail, chaque proportion, chaque dimension de son futur chef d’oeuvre. Il devait être parfait. Marionnettiste, il faisait couler son art en forgeant son ultime joyau, l’enveloppe de porcelaine qui tiendra la conscience de sa fille. Monsieur Burkin s’appliquait à lui donner la forme ressemblant trait pour trait au visage de l’être qu’il aimait au-delà de lui-même. Sa poupée serait sa copie conforme, il le fallait impérativement pour noyer sa douleur. La souffrance de sa perte, lancinante et ravageuse, lui avait donné la folie de renverser la mort, brisant les limites de la magie, enfreignant la loi de la vie.  Secrètement, dans sa cave dissimulée aux yeux du monde, il faisait naître de ses doigts habiles et aimants, celle qui portera l’âme de sa fille Eleanor. Le cocon contre-nature dont il créait soigneusement le nid avec une obsession dévorante, au point que même ses yeux sortaient de ses orbites tandis qu’il se concentrait chaque seconde sur sa tâche.
Il ne mangeait pas, il ne dormait pas, il ne respirait plus.

Toute son énergie était dirigée dans ce projet révolutionnaire mais terriblement répréhensible. Si quelqu’un apprenait ce qu’il s’apprêtait à faire, il serait certainement condamné à mort pour cet acte qui déjouait les plans même de la nature. Mais il n’en avait cure. Eleanor devait vivre ! C’était une jeune fille si belle, si intelligente et si joyeuse ! Bousculé par les élans fiévreux de sa volonté, il s'octroyait la fibre d’un dieu révolutionnaire. Il façonnait l’image encore vide d’expression de sa fille défunte avec une ardeur et une détermination inébranlable. Il refusait complètement qu’Eleanor ait pu devenir une Gardienne, encore moins à cause de la maladie. Le créateur sentait qu’il touchait au but suprême.

Un sourire satisfait se dessina alors sur son visage alors qu’il contemplait le résultat. Il ne manquait plus qu’une étape pour terminer le travail en beauté. Les mains tremblantes d’émotions, il psalmodiait ses prières dans des murmures, s’adressant à la divinité qui lui offrira ou non sa bénédiction. Il se leva ensuite lourdement de son siège pour aller chercher la relique précieuse qu’il avait jusque là conservée précieusement dans une boîte en acier. Un coeur artificiel qu’il avait créé pour lui donner. C’était l’heure.

L’atmosphère se chargea d’une énergie nouvelle, furieuse et envahissante comme des ombres venant se jeter sur sa proie dans un présage de mauvaise augure. Le sortilège naquit de sa bouche, berçant l’ambiance d’une puissance magistrale, son sort le plus beau et le plus prodigieux de tout ce qu’il avait entreprit. Il s’était entraîné si durement dans ce seul et unique but. Il était intolérable d’échouer, ce serait sa dernière chance. Il envoutait l’organe qui ferait office de source magique et l’infiltra dans la poitrine de la poupée en poursuivant de déployer son pouvoir toujours plus fort, toujours plus vif. Ensuite, l’ambiance s’apaisa en une fraction de seconde. Monsieur Burkin se mit donc à genoux, entrelaçant ses doigts en espérant si fort qu’elle lui revienne. Les secondes de silence tombèrent, longues et insupportables.

Rien ne se produisait.

Désemparé et abattu, son corps tomba au sol. Le créateur pleurait. Il pleurait tellement que ses larmes avaient ce goût du désespoir. De l’échec. De la mort. Dieu avait donc décidé de ne pas lui accorder sa grâce et de le laisser pourrir dans sa défaite. Il n’avait pas pu sauver sa fille et il n’avait pas été capable de la ramener. Quel triste sort. Quelle infamie. Quel père pathétique… Mais un petit bruit, tout timide, le fit soudainement cesser de gémir. Son oreille se dressa et son buste bondit en avant pour observer d’un peu plus près, le visage de sa poupée.

Un battement de paupière. Avait-il bien vu ?

Un second battement de paupière. Cela ne pouvait être une hallucination !
Son coeur s’emballa, soudainement excité et intrigué par cette manifestation minime mais qui portait pourtant tous ses espoirs. Puis le pantin bougea la tête, regardant de gauche à droite puis de droite à gauche, comme si elle cherchait à comprendre. Puis ses yeux finirent par se poser sur l’homme en face d’elle jusqu’à ce que ses lèvres prononcent…

“Père ?”

***

Burkin était si heureux ! Il avait retrouvé sa fille ! Ou tout du moins… En partie ? Eleanor n’était plus vraiment la même. Elle semblait moins présente, moins vive et moins énergique. Pourtant, il avait procédé comme il fallait ! Alors pourquoi ? Au fur et à mesure, il se rendait compte que la petite ne portait de sa fille que son apparence. A l’intérieur… Sa personnalité n’était nullement la même. Parfois, une chaleur agréable l’envahissait quand elle semblait se rappeler quelques séquences de son passé mais ce n'était qu’un éclat de sa conscience dans un vaste océan de moment d’absence. Sa conscience n’était pas vraiment là. Ce n’était pas sa fille ! Pourtant, même si le marionnettiste s’était motivé plusieurs fois à la faire disparaître, il n’avait jamais pu s’y résoudre complètement. Mais quelque chose avait subsisté de ce transfert. Son pouvoir. Son pouvoir immense. Alors il avait décidé de l’éduquer comme on le ferait avec un enfant encore lavé de toutes notions du monde. Il la gardait enfermée dans sa maison, craignant qu’un jour son secret ne se découvre. Le sorcier ne pouvait pas la faire sortir. Il avait trop peur qu’elle ne disparaisse encore, une crainte maladive. Elle était si fragile... Néanmoins, il prenait le temps de lui apprendre à parler, écrire, lire. Il la cultivait à travers son propre métier en lui montrant comment coudre ses robes, cirer ses chaussures, coiffer ses cheveux. Il lui inculqua les politesses, lui racontait des histoires, commentait le monde. Mais la petite n’avait jamais aucun contact avec l’extérieur. Alors elle se nourrissait des paroles de son créateur, sa seule et unique fenêtre sur l’univers, au-delà de cette maison dans laquelle elle restait enfermée. Plus encore, il l’exerçait à sa dimension imaginaire afin qu’elle le maîtrise sur le bout des doigts. Alors elle passait son temps à lire des bouquins en son absence, jouant avec ses autres camarades poupées que son père laissait à sa disposition pour s’amuser dans son propre univers qu’elle maniait à sa guise. Mais jamais elle ne se plaignait. Elle attendait toujours patiemment le retour de son maître, sachant que de nouveaux récits lui seront racontés au moment du coucher. Peut-être même qu’elle aura le droit à un spectacle de marionnettes ? Elle adorait les spectacles de marionnette.

Mais un soir, Burkin tardait à arriver. Une boule désagréable dans son ventre se mit à pousser, ce qu’on appelle donc plus communément de l’inquiétude. Poussée par cette sensation étrange dont elle ne connaissait pas la signification, elle se décida pour la première fois à franchir le seuil de la porte pour partir à sa recherche. Pour la première fois, elle prit une décision par elle-même. Mais ce choix lui coûta les remontrances de son père qui finit par la récupérer dans une ruelle du quartier Médiéval alors qu’elle errait dans ses dédales. Une courte sortie mais au fond d’elle, elle avait ressenti comme des papillons dans son ventre. Elle avait senti, elle avait entendu, elle avait vu. Tous ces magasins, toutes ces belles femmes, tous ces messieurs. On lui avait même parlé, même si elle ne savait pas quoi répondre. Mais le marionnettiste était furieux ! Il lui somma de ne plus jamais sortir.

***

Malheureusement, le sorcier ne connaissait pas la longévité de son oeuvre. Il le savait, sa santé déclinait à vue d’oeil et perdait de plus en plus ses forces à mesure que le temps s’étirait. Qu’allait-il advenir d’Eleanor ? Elle était incapable d’être autonome. Qui allait s’occuper de sa fille ? Malgré lui, il y tenait. Très fort. Il ne supportait pas l’idée que même la copie de son enfant puisse s’endormir une nouvelle fois. La poupée ne représentait que son spectre mais cela lui était intolérable de la laisser moisir avec lui. Alors d’une main fébrile, bien que cela lui déplaisait fortement, il fit appel à l’Eglise Blanche, grand cercle des droits et des mesures pour les créatures en écrivant une lettre. Il ne les tenait pas dans son coeur pour différentes raisons mais c’était sa seule et unique possibilité, pour le bien de sa fille.

“Cher Pontife, chère Eglise Blanche,

Je me nomme James Burkin. Je vous écris ces mots car j’ai besoin de votre aide. Je suis un sorcier souffrant de la vieillesse qui l’agresse et suis sur le point de rendre l’âme. Toutefois, ce n’est pas l’important. J’ai sous mon aile, ma fille Eleanor. Ou devrais-je plutôt dire ce qu’il en reste… Je sais pertinemment que ma requête est aussi déplacée que la souffrance qui fait pâlir mes traits. Après tout, ce ne sont pas les rapports amicaux que nous avons. Mais j’ai décidé de mettre mes différends de côté, pour elle. Elle ne mérite pas de mourir. En effet, il s’agit de ma création. Une créature unique. Elle est incapable de survivre si personne ne s’en occupe. Elle est fragile, naïve et ne sait rien du monde qui l’entoure à part ce que j’ai bien pu lui raconter ou lui apprendre. Je vous demande donc de la prendre sous votre protection. Je vous demande de prendre soin d’elle. Je vous demande de la choyer. Mais plus encore, faites-lui découvrir. Elle est si innocente. Si cela ne vous convainc pas, sachez que son pouvoir pourrait également vous être utile. Elle est capable d’ouvrir une dimension parallèle et de créer selon la seule forme de son imagination. Mais n’en abusez pas, n’en faites pas une arme. Ne la bousculez pas trop vite. Je ne sais pas si ma perte la fera souffrir mais elle ne connait que moi en ce bas monde. Cela risque de bousculer ses seuls repères. Soyez patients, avec elle. Alors je vous en conjure, prenez-la avec vous. Je serais prêt à n’importe quel prix.”


Quelques jours plus tard, sur le pas de sa porte, ce fut un conseiller qui se présentait, chargé donc de ramener la fille à l’Eglise. Mais la séparation ne se fit pas aussi calmement qu’il l’aurait cru. Un élan de panique s’empara de la poupée vivante à tel point qu’elle s’agrippait d’une poigne de fer à son créateur en répétant inlassablement qu’elle ne voulait pas partir. Il était rare qu’elle exprime sa volonté et pourtant à ce moment, elle le faisait avec une ardeur qui scindait son âme en deux. Cette scène eut l’effet d’un coup de poignard dans le coeur de monsieur Burkin, qui se mit à pleurer en la serrant fort contre elle. Il lui dicta alors ses dernières volontés. Elle devait suivre ce monsieur et rester bien sage. C’était tellement dur… Une seconde fois, il avait la sensation de perdre sa fille unique.

Eleanor fut alors contrainte d’obéir, accompagnant donc cet homme. A destination, c’était ici, à l’Eglise, qu'elle fit sa rencontre. Le regard de la porcelaine s’anima d’un éclat, telle l’évidence qui traverse l’âme, en se posant sur cette grande silhouette toute fine. Il y avait bien d’autres personnes dans cette pièce, mais ses rétines étaient absorbées par ce bonhomme tout frêle. Il dégageait quelque chose qui lui semblait si familier. Quelque chose qu’elle avait retrouvé chez lui, comme chez son créateur avant. Un vide. Elle le sentait, sans nécessairement en avoir réellement conscience. Alors ses petits pieds s’avancèrent vers celui sur qui elle avait jeté son attention. Sa petite paume attrapa ensuite la manche du monsieur bizarre qui la fixait d’un air orageux, mais dont le sourire s’étirait toujours. Son père aussi, souvent, lui souriait de cette façon. “Vous serez mon nouveau maître ?” Elle avait choisi son père, au grand damne de l’autre. Mais Eleanor avait fait un choix. Plus encore, la petite n’en démordait pas et ne faisait que le suivre partout où il pouvait bien aller. Alors Stanislas Kozlowski dut se résoudre à l’accepter. Le Pontife valida alors sa responsabilité auprès d’elle, voyant bien qu’il n’avait pas vraiment le choix. Le croque-mitaine l’assigna donc à ses côtés, l’emmenant à droite et gauche, pour mieux la garder à l’oeil et la familiariser avec son nouvel environnement. Mais malheureusement pour lui, cela ne s’arrêtait pas là. En effet, la poupée avait besoin d’un réel tuteur, qui s’occuperait d’elle en permanence sous risque qu’elle ne se néglige au point d’en pourrir. Alors elle élit domicile directement chez son mentor, qui évidemment, grinçait fort des dents à cette nouveauté embarrassante. Toutefois grâce à lui, elle parvenait à prendre ses marques petit à petit et rencontrait du monde, voyait l’extérieur. Sa vie n’était plus rythmée par une attente assommante dans la solitude et elle pouvait enfin s’émanciper en se responsabilisant. Elle allait même à l’école ! Stanislas avait même accepté qu'elle soit embauchée en tant que couturière dans une friperie vintage.

Toutefois, des progrès restaient vraiment à faire. Eleanor, aussi mignonne soit-elle, n’était pas encore bien familière avec les notions des mœurs ou des sentiments ce qui, parfois, provoquaient des situations quelque peu gênantes. Il fallait constamment la reprendre, lui expliquer, la guider. C’était ainsi que sur validation seulement de Stanislas, un suivi fut mis en place pour son développement personnel afin de l’aider à appréhender plus facilement le monde qui l’entoure. Eleanor ne comprenait pas tellement la dimension de ses entretiens mais elle appréciait toujours voir ces gens qui s’occupaient bien d’elle, en plus de ses cours à l’école. Avec du temps et de la patience, la poupée était promise à un avenir plus éclatant que la maison dans laquelle elle restait enfermée. Il manquait encore à savoir si son nouveau maître serait capable de remplir son devoir de représentant, mais aussi de tuteur, contre sa volonté. Toutefois, son aventure ne faisait que commencer.




Je me suis retrouvée ici à cause de Stan !. Je suis âgée de 25 ans et je trouve vraiment que ce forum est super fabuleux. Mon avatar est Anna Kushina de K Project. Je vous offre finalement le code du saint règlement qui est Bravo ma petite, tu as trouvé... !


Qu'est-ce qui m'attend à présent?


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Stanislas Kozlowski
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MessageSujet: Re: Eleanor Burkin - la Poupée délicate   Eleanor Burkin - la Poupée délicate EmptyMer 11 Aoû - 23:29

La douce petite... Chose qui décide de me coller... gros mots

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Shën
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MessageSujet: Re: Eleanor Burkin - la Poupée délicate   Eleanor Burkin - la Poupée délicate EmptyJeu 12 Aoû - 16:32

Félicitation!
Te voilà validé mon enfant... ••• Tu peux à présent te balader, rp dans Azuola et faire aussi la demande de métier ici et ouvrir ta fiche de lien et rp par là et déclarer ton métier juste là. Afin de gagner plus rapidement des points, tu peux effectuer des missions en fonction de ton groupe. Et n'hésite pas à faire un tour à la boutique à points afin que tu aies une petite idée du nombre de points qu'il te faudra pour avoir ce que tu désires.:copyright: 2981 12289 0
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